محمدحسین فتحیان

محمدحسین فتحیان

عنوان پایان‌نامه

انتقال زبان لاکونیک در ترجمه کتاب هنوز هرچیزی ممکن است اثر ویرژینی گریمالدی ترجمه ی فرزانه مهری



    دانشجو محمدحسین فتحیان در تاریخ ۲۰ شهریور ۱۴۰۳ ساعت ۱۱:۰۰ ، به راهنمایی فرناز ساسانی ، پایان نامه با عنوان "انتقال زبان لاکونیک در ترجمه کتاب هنوز هرچیزی ممکن است اثر ویرژینی گریمالدی ترجمه ی فرزانه مهری" را دفاع نموده است.


    استاد راهنما
    فرناز ساسانی
    استاد مشاور
    مختار عیساییان
    استاد داور
    صدیقه شرکت مقدم
    رشته تحصیلی
    مقطع تحصیلی
    کارشناسی ارشد
    محل دفاع
    ادبیات فارسی و زبانهای خارجی
    شماره ساختمان محل ارائه
    ۱۷
    نام کلاس محل ارائه
    کلاس ۲۰۷[۲۰۲۰۷]
    شماره کلاس محل ارائه
    ۳۰۷
    تاریخ دفاع
    ۲۰ شهریور ۱۴۰۳
    ساعت دفاع
    ۱۱:۰۰

    چکیده

    La traduction, un problème d’hier, mais maintenant le favorable des gens amateurs des livres, contient une longue histoire d’étude. Par Cicéron jusqu’à ce qu’on sait, cela a été commencé, jusqu’à Ladmiral, Umberto Eco, … par la description que les théoriciens faisaient, on est arrivé au moment où la traduction devient presque scientifique et plus qu’hier professionnelle   comme elle est maintenant en relation de beaucoup de domaines.

    La linguistique est une domaine trop connue qui a affectué la traductologie et les études avancées de la traductologie afin de connaître mieux ce qui est la traduction et que comment faire de la traduction et que si c’est possible de dire la même chose   une question bien abordée par Umberto Eco. Il dit que dire la «  même  » chose, si c’était possible, elle serait inutile car la pensée de l’un n’est point la même que l’autre et la langue n’est pas séparée de la pensée.

    D’autre part, d’après le vision structural, la traduction exacte des phrases et des mots est possible mais ça nous donne peut-être un autre sens, or dans la vérification au niveau de la phrase, est- ce que la traduction un peu plus longue en rapport de la phrase originale n’a pas changé le se  ? si en revanche, on traduisait plus court que la phrase originale, qu’est-ce qu’il passerait  ?

    Il s’agit ici le langage laconique avec lequel on exprime trop court et dans cette recherche, grâce à la théorie sémantique d’Umberto Eco et grâce à une analyse distributionnelle, créé par Leonard Bloomfield et Zellig Harris, on a étudié s’il existait une traduction laconique et s’il a influencé sur le sens.

      

    Abstract

    La traduction, un problème d’hier, mais maintenant le favorable des gens amateurs des livres, contient une longue histoire d’étude. Par Cicéron jusqu’à ce qu’on sait, cela a été commencé, jusqu’à Ladmiral, Umberto Eco, … par la description que les théoriciens faisaient, on est arrivé au moment où la traduction devient presque scientifique et plus qu’hier professionnelle   comme elle est maintenant en relation de beaucoup de domaines.

    La linguistique est une domaine trop connue qui a affectué la traductologie et les études avancées de la traductologie afin de connaître mieux ce qui est la traduction et que comment faire de la traduction et que si c’est possible de dire la même chose   une question bien abordée par Umberto Eco. Il dit que dire la «  même  » chose, si c’était possible, elle serait inutile car la pensée de l’un n’est point la même que l’autre et la langue n’est pas séparée de la pensée.

    D’autre part, d’après le vision structural, la traduction exacte des phrases et des mots est possible mais ça nous donne peut-être un autre sens, or dans la vérification au niveau de la phrase, est- ce que la traduction un peu plus longue en rapport de la phrase originale n’a pas changé le se  ? si en revanche, on traduisait plus court que la phrase originale, qu’est-ce qu’il passerait  ?

    Il s’agit ici le langage laconique avec lequel on exprime trop court et dans cette recherche, grâce à la théorie sémantique d’Umberto Eco et grâce à une analyse distributionnelle, créé par Leonard Bloomfield et Zellig Harris, on a étudié s’il existait une traduction laconique et s’il a influencé sur le sens.